À Charles Spon, le 5 juin 1663, note 9.
Note [9]

« Cette démangeaison, Gradivus, a mordu tes petits-fils », Juvénal (Satire ii, vers 127‑128), où la phrase est interrogative :

                                            unde
hæc tetigit, Gradive, tuos urtica nepotes ?

Comment, Gravidus, {a} pareille démangeaison a-t-elle mordu tes petits-fils ?] {b}


  1. V. note [6], lettre de Reiner von Neuhaus, datée du 1er août 1669, pour Gradivus, épithète de Mars.

  2. Juvénal commentait le scandaleux mariage du richissime Gracchus, descendant des glorieux Gracques (v. note [6], lettre 959), avec un joueur de cor, en le dotant de quatre cent mille sesterces.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 juin 1663, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0752&cln=9

(Consulté le 03/05/2024)

Licence Creative Commons