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Communications de MAGNAN J
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Le concept de chirurgie " minimale invasive " ; abord limité, morbidité réduite, temps d'hospitalisation raccourci et amélioration des résultats, s'est étendu à la chirurgie otoneurologique de l'angle ponto-cérébelleux dite " à risque ". L'auteur présente son expérience de ce concept chirurgical appliqué chez 1163 patients sur une période de 10 ans. L'utilisation combinée des techniques de microchirurgie et d'endoscopie peut être adapté à tous les abords chirurgicaux péri et transtemporaux pour accéder à l'angle ponto-cérébelleux. Notre pratique de routine s'est faite au travers d'une craniotomie de 20 mm rétromastoïdienne et rétrosigmoïde, sans rétraction instrumentale du cervelet. Les indications ont été les suivantes : pathologie tumorale, essentiellement neurinome de l'acoustique, 405 cas ; pathologie fonctionnelle de décompression neuro-vasculaire (névralgie faciale, spasme de l'hémiface, acouphènes 448 cas ; et nécessitant une neurotomie vestibulaire (Maladie de Ménière invalidante) 310 cas. La moyenne d'âge des patients était de 56 ans, avec des extrêmes de 11 à 84 ans. Aucune mortalité n'a été à déplorer, l'ensemble des patients n'a pas nécessité de séjour en soins intensifs, sauf cas bien particuliers. La chirurgie fonctionnelle n'a eu aucune incidence sur la fonction du nerf facial et la fonction auditive a été altérée dans moins de 1% des cas. Pour la chirurgie tumorale, les résultats seront détaillés en fonction de la tumeur et de son volume. Les complications ont été limitées à deux hématomes de l'angle nécessitant une réintervention, et trois hématomes sous duraux à distance du site opératoire. La complication essentielle a été la fuite de LCR, 6%. En terme de confort opératoire, tant pour le chirurgien que pour le malade, et de suites, la chirurgie rétrosigmoïde a minima de l'angle ponto-cérébelleux montre une réelle efficacité, tout en maintenant la sécurité. Elle repose sur l'apprentissage et la combinaison des techniques otologiques et neurochirugicales.
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L’implantologie moderne au niveau de l’oreille a acquis droit de cité, il y a une trentaine d’années avec l’implant cochléaire pour pallier les déficits auditif et phonatoire des surdités profondes. Depuis cette biotechnologie implantable s’est étendue de part et d’autre de l’oreille interne vers les noyaux cochléaires avec l’implant auditif du tronc cérébral, vers l’oreille moyenne pour des hypoacousies sévères. Ainsi l’oreille est devenue le lieu d’un véritable concours Lépine de l’ingéniosité. A la lumière de notre expérience et de la réunion de consensus que nous avons organisée en juin 2007 « on auditory implants » nous envisagerons la place respective au sein des techniques de réhabilitation de l’audition : - des implants cochléaires, - des implants du tronc cérébral, - des implants d’oreille moyenne, de leurs limites actuelles et des développements à espérer dans un futur proche.
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L’implantologie moderne au niveau de l’oreille a acquis droit de cité, il y a une trentaine d’années avec l’implant cochléaire pour pallier les déficits auditif et phonatoire des surdités profondes. Depuis cette biotechnologie implantable s’est étendue de part et d’autre de l’oreille interne vers les noyaux cochléaires avec l’implant auditif du tronc cérébral, vers l’oreille moyenne pour des hypoacousies sévères. Ainsi l’oreille est devenue le lieu d’un véritable concours Lépine de l’ingéniosité. A la lumière de notre expérience et de la réunion de consensus que nous avons organisée en juin 2007 « on auditory implants » nous envisagerons la place respective au sein des techniques de réhabilitation de l’audition : -des implants cochléaires, -des implants du tronc cérébral, -des implants d’oreille moyenne, de leurs limites actuelles et des développements à espérer dans un futur proche.
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L’implantologie moderne au niveau de l’oreille a acquis droit de cité, il y a une trentaine d’années avec l’implant cochléaire pour pallier les déficits auditif et phonatoire des surdités profondes. Depuis cette biotechnologie implantable s’est étendue de part et d’autre de l’oreille interne vers les noyaux cochléaires avec l’implant auditif du tronc cérébral, vers l’oreille moyenne pour des hypoacousies sévères. Ainsi l’oreille est devenue le lieu d’un véritable concours Lépine de l’ingéniosité. A la lumière de notre expérience et de la réunion de consensus que nous avons organisée en juin 2007 « on auditory implants » nous envisagerons la place respective au sein des techniques de réhabilitation de l’audition : - des implants cochléaires, - des implants du tronc cérébral, - des implants d’oreille moyenne, de leurs limites actuelles et des développements à espérer dans un futur proche.
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