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Communications de IZE LAMACHE L
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Pour comprendre les succès et difficultés de la chirurgie générale au Mexique, il est bon de brosser un tableau du pays et de son système de santé. Pour plus de 106 millions d’habitants, dont un tiers ont moins de 15 ans et 8 millions dépassent les 60, nous comptons sur 11,000 chirurgiens, spécialistes en chirurgie générale. De ces 106 millions d’habitants, 66 sont couverts par les systèmes de sécurité sociale, 28 se soignent en médecine privée, et 12 n’ont aucune protection et doivent, moyennant une quotité, assister à une consultation ou à un hôpital du ministère de la Santé, dont les recours sont malheureusement bien limités. Le pays est en pleine transition sanitaire et nous pouvons observer une diminution des maladies transmissibles (infectieuses) au profit des non transmissibles (Diabète, cancer etc.). Il est indéniable que le niveau de santé de la population s’est amélioré brutalement au cours des dernières décennies et l’espérance de vie atteint maintenant les 74 ans. Le chirurgien dispose dans les hôpitaux de haut niveau, soient-ils publiques ou privés, de la possibilité de réaliser des techniques chirurgicales parmi les plus avancées mais dans tout le pays nous ne disposons au maximum que de 150 centres hospitaliers de ce niveau. Quelles sont les actions qui pourraient aider à résoudre les difficultés de la chirurgie générale mexicaine? La principale serait, sans aucun doute, celle de participer à la formation continue du chirurgien avec la priorité que la bonne chirurgie ne doit pas être l’esclave de la technologie.
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