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Communications de BARA C
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La chirurgie est une discipline centrale en cancérologie. Elle participe directement à la guérison de nombreux cancers. Elle constitue à la fois le premier acte thérapeutique curatif pour le malade mais elle trace aussi l’entrée dans le parcours de soins. A compter de 2009, en France, les établissements de santé devront disposer d’une autorisation spécifique pour traiter les malades atteints de cancer. Pour ce faire, ils devront garantir la mise en œuvre des grands fondamentaux du plan cancer : pluridisciplinarité, travail en réseau, dispositif d’annonce et accès aux soins complémentaires de support, accès aux traitements innovants et aux essais cliniques. Mais les établissements de santé devront aussi répondre à des critères qualité spécifiques aux traitements qu’ils délivrent, que ce soit en chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie et à des niveaux d’activité minimums. L’institut National du cancer s’est donc engagé avec les sociétés savantes de chirurgie dans un travail d’élaboration de critères traceurs de cette qualité dans les six spécialités chirurgicales, qui traitent aujourd’hui le plus grand nombre de cancers : les chirurgie digestive, urologique, mammaire, gynécologique, ORL et thoracique. La typologie de ces critères définit les compétences et l’activité minimum des chirurgiens, leur participation à la pluridisciplinarité, le plateau technique requis, l’utilisation de comptes rendus opératoires standardisés, les spécificités de telles prise en charge dans la discipline, la formation des personnels soignants et la participation à des activités d’évaluation de la qualité, telles que les réunions de morbi mortalité. A ces critères qualitatifs et quantitatifs, rendus obligatoires pour opérer et traiter les malades, seront ajoutés des recommandations de bonnes pratiques, déclinées de façon pragmatique et ciblant les points clé de la pratique opératoire de chacun des cancers.
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La chirurgie est une discipline centrale en cancérologie. Elle participe directement à la guérison de nombreux cancers. Elle constitue à la fois le premier acte thérapeutique curatif pour le malade mais elle trace aussi l’entrée dans le parcours de soins. A compter de 2009, en France, les établissements de santé devront disposer d’une autorisation spécifique pour traiter les malades atteints de cancer. Pour ce faire, ils devront garantir la mise en œuvre des grands fondamentaux du plan cancer : pluridisciplinarité, travail en réseau, dispositif d’annonce et accès aux soins complémentaires de support, accès aux traitements innovants et aux essais cliniques. Mais les établissements de santé devront aussi répondre à des critères qualité spécifiques aux traitements qu’ils délivrent, que ce soit en chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie et à des niveaux d’activité minimums. L’institut National du cancer s’est donc engagé avec les sociétés savantes de chirurgie dans un travail d’élaboration de critères traceurs de cette qualité dans les six spécialités chirurgicales, qui traitent aujourd’hui le plus grand nombre de cancers : les chirurgie digestive, urologique, mammaire, gynécologique, ORL et thoracique. La typologie de ces critères définit les compétences et l’activité minimum des chirurgiens, leur participation à la pluridisciplinarité, le plateau technique requis, l’utilisation de comptes rendus opératoires standardisés, les spécificités de telles prise en charge dans la discipline, la formation des personnels soignants et la participation à des activités d’évaluation de la qualité, telles que les réunions de morbi mortalité. A ces critères qualitatifs et quantitatifs, rendus obligatoires pour opérer et traiter les malades, seront ajoutés des recommandations de bonnes pratiques, déclinées de façon pragmatique et ciblant les points clé de la pratique opératoire de chacun des cancers.
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