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Communications de ARUNG W
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Cette étude prospective a été menée du 1/11/2006 au 31/3/2007 aux Cliniques Universitaires de Lubumbashi en R.D.C. et à l’ “University Teaching Hospital (UTH) ” de Lusaka en Zambie. Elle visait à déterminer la séro-prévalence du SIDA en chirurgie et à évaluer les suites opératoires précoces des patients dépistés, traités ou non, analysant la mortalité, la ré-intervention précoce, l’infection de la plaie opératoire, la durée du séjour hospitalier, l’évolution de l’infection virale et de l’acte opératoire abdominal après sortie. Les auteurs avaient défini et suivi une méthodologie stricte. Les prévalences du SIDA ont été plus élevée en milieu chirurgical que dans la population générale Il n y’ avait pas de différence de la mortalité postopératoire entre les sidéens et les non-sidéens mais il y avait plus de ré-interventions précoces dans le premier groupe. Le séjour hospitalier postopératoire a été significativement plus long pour les sidéens. De même ces derniers ont présenté plus des laparotomies infectées que les autres. Des améliorations des manifestations du SIDA ont été notées chez les sidéens dépistés et traités pendant leur séjour hospitalier. Après la sortie la morbidité liée à l’acte opératoire a été sérieuse chez les sidéens particulièrement chez les dépistés non traités ayant subi des actes chirurgicaux complexes. Les auteurs recommandent que tout patient admis pour une chirurgie sérieuse soit conseillé et traité le cas échéant et que le diagnostic de l’affection abdominale et de son opérabilité soit très précis afin que la laparotomie soit la plus écourtée possible, quitte à être répétée une ou deux fois chez les sidéens physiquement amoindris
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