[2], lettre latine 127, pour le Celse de Johannes Rhodius, repris par Thomas Bartholin mais resté inédit ;
[8], lettre latine 289, pour la mort de Johannes Antonides Vander Linden, le 5 mars 1664 à Leyde ; la fièvre continue (ou synoque, v. note [3], lettre latine 104) et le catarrhe suffocant (équivalent de l’œdème pulmonaire moderne) sont compatibles avec le diagnostic de peste foudroyante (avec choc septique, v. note [1], lettre 5).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Thomas Bartholin, le 10 avril 1664, note 3.