[3], lettre 713, pour l’emprisonnement volontaire de Jean Pecquet à la Bastille, par admirable dévouement envers Nicolas Fouquet, son protecteur déchu ;
[5], lettre 390 (3e extrait cité), pour ce que Samuel Sorbière a écrit contre Jan van Horne et son Novus ductus chyliferus… [Nouveau conduit chylifère…] (Leyde, 1652), où il redécouvrait la citerne de Pecquet, sans même citer son nom ; en demandant de ses nouvelles à Guy Patin, peut-être van Horne voulait-il exprimer des remords envers celui qu’il avait plagié, sciemment ou innocemment.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Jan van Horne, le 6 septembre 1665, note 7.