Note [2]
« La Méthode d’Hippocrate pour remédier n’est-elle pas la plus fiable, la plus sûre et la plus remarquable de toutes ? » ; conclusion affirmative, Igitur Hippocratea medendi methodus omnium certissima, tutissima, præstantissima [Donc la…] (v. note [13], lettre 151).
Lettre à Charles Spon du 10 mars 1648 :
« La thèse de M. Guillemeau est sur la presse pour le 26e de mars. Il y parlait des apothicaires, des Arabes et de leur pharmacie, et ce bien malgré moi ; {a} mais je ne laisserai point de vous donner une copie de ce qui a été retranché. […] Comme je pressais un homme de ce parti sur ce châtrement de thèses, il me dit que tout le monde n’était point si heureusement hardi que moi […]. »
- C’est-à-dire : « sans que j’y fusse pour rien ».