À Sebastian Scheffer, le 9 avril 1666, note 1.
Note [1]

Succession de deux citations classiques latines :

  • « pour faire fortune, honnêtement, ou sinon par quelque moyen que ce soit » (Horace, v. note [20], lettre 181) ;

  • « Leur boutique n’a rien de noble » (Cicéron, mais au livre i et non ii du traité « des Devoirs », v. note [3], lettre 612).

Le nommé Kormann (Kormannus dans le manuscrit), porteur de la lettre mentionné dans sa première phrase, y apparaît pour la seule et unique fois dans la Correspondance.

Dans sa deuxième phrase, pour traduire de manière plus plausible le propos de Guy Patin, j’ai remplacé sed miror, nec indignor [et ne m’en indigne pas, mais m’en étonne] par nec miror, sed idignor [je ne m’en étonne guère, mais m’en indigne]. Au début de sa lettre du 17 décembre 1665, Patin avait demandé à Sebastien Scheffer s’il avait eu à payer le port de trois lettres qu’il lui avait envoyées, car le marchand à qui il les avait confiées lui avait promis de les délivrer sans frais.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Sebastian Scheffer, le 9 avril 1666, note 1.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1432&cln=1

(Consulté le 06/05/2024)

Licence Creative Commons