Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 7 manuscrit, note 19.
Note [19]

V. note [15], lettre 551, pour le triste destin du valeureux maréchal de Biron qui fut condamné à mort et exécuté en 1602, pour crime de haute trahison.

Par lettres patentes données à Paris le 25 août 1601 et registrées au Parlement le 25 septembre, le roi avait instauré une Chambre de justice (v. note [8], lettre 221) pour débusquer et punir les abus des financiers (partisans ou traitants) par tout le royaume. Cette Chambre fut révoquée en octobre 1604.

Bien que cela fût advenu sous le règne de Henri iv, Nicolas Bourbon louait hautement la mansuétude de ce roi, et déplorait les faiblesses de son fils, Louis xiii, à l’égard de Richelieu, devenu son ministre aussi implacable que tout-puissant.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 7 manuscrit, note 19.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8208&cln=19

(Consulté le 26/04/2024)

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