Note [2] | |
« comme des maîtres tombés du ciel par un câble en or » ; page 149 de la Præfatiuncula de Jean Passerat, contre les jésuites : {a} Gratuita doctrina illis est pro hamo, vel potius pro reti-iaculo, quo callidi piscatores cuncta conuerrunt cum pulvisculo. Stolidi parentes, qui suos iis credunt liberos, eadem opera columbas accipitribus, pullos miliviis et oves committent lupis. Sed quid tandem isti, per aureum funem de cælo delapsi magistri, discipulis suis tradunt ? nihil sapere, ritus Hispanos, odium legum instituitque patrii, et, ut priscis utar verbis, imbelliam, imbalnitiem, impolitiam, imparentiam, meramque cum Lavernæ sacris babariem : quam consulto huc invexerunt, opinor, ut eam soli docerent. V. note [12], lettre 33, pour Charles i Duret, sieur de Chevry, président des Comptes, fils puîné du célèbre médecin Louis Duret (v. note [10], lettre 11) et frère de Jean Duret, professeur royal de médecine (v. note [3], lettre 149). Du second mariage de Charles i avec Françoise Rémy était né Charles ii Duret de Chevry (1614-1700), qui hérita de la présidence paternelle ; il fut conseiller au parlement de Metz, puis à celui de Paris (en 1636, Popoff, no 1128). Tallemant des Réaux a parlé de lui dans son historiette sur son père (tome i, page 173) : « [Charles i] mourut contrôleur général des Finances et président des Comptes. Sa femme avait eu beaucoup de biens, lui n’était pas gueux et avait quelque chose de patrimoine. Au prix de ce temps-ci, il ne fit pas une grande fortune. Son fils a vendu la Grange {a} et sa charge de président des Comptes ; il a de l’esprit, mais peu de cervelle ; il se ruine. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Borboniana 5 manuscrit, note 2. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8206&cln=2 (Consulté le 27/04/2024) |