À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 21.
Note [21]

Plaute, Casina (acte ii, scène 6) :

Ubi sim nescio, perii ; cor lienosum, opinor, habeo ; iamdudum salit ; de labore pectus tundit.

[Je ne sais plus où je suis, je suis mort ; j’ai, je crois, le cœur gonflé ; {a} il palpite sans cesse et me bat douloureusement la poitrine].


  1. Splénétique.

Guy Patin s’en était inspiré dans sa thèse : Cor quibus lienosum est, salit sæpe, et momento interimit [Chez ceux qui ont le cœur gonflé, souvent il y a palpitation (v. note [5] de l’observation viii) et mort subite (v. note [15], lettre 554)].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 21.

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(Consulté le 03/05/2024)

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