À Sebastian Scheffer, le 24 mai 1665, note 67.
Note [67]

Page 307 (Paris, 1646), livre ii, chapitre ci, De Genista [Le Genêt], ligne 3 (§ 2), ajouter differentes [qui diffèrent] dans :

In Offic. nostris sunt duæ nominatæ Genistæ, [differentes] foliis, succo, flore et semine.

[Dans nos officines, on donne le nom de genêt à deux espèces {a} qui diffèrent par leurs feuilles, leur suc, leur fleur et leur graine].


  1. Le genêt ordinaire (genista scoparia, à balai) et le genêt d’Espagne (genista juncea, jonc). Les fleurs du genêt « ont une vertu merveilleuse pour lever les obstructions de la rate et du foie, pour faire uriner et rompre la pierre » (Thomas Corneille).

La réédition de Francfort (1667, page 245) a appliqué cette correction.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Sebastian Scheffer, le 24 mai 1665, note 67.

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(Consulté le 05/05/2024)

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