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Communications de FRANCOIS G
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La migration de l'uretère dans une hernie inguino-scrotale, quoique rare, mérite d'être étudiée. Elle peut entraîner une pathologie propre à exposer à des lésions lors de la chirurgie herniaire. C'est le plus souvent en cours d'intervention que cette anomalie est reconnue. On distingue deux types anatomiques de hernie scrotale de l'uretère. La hernie parapéritonéale avec sac oblique externe classique, dont le mécanisme est facile à comprendre par la traction qu'exerce le péritoine sur l'uretère. La hernie extrapéritonéale dans laquelle on ne trouve pas de sac péritonéal mais une abondante masse graisseuse ; ici le mécanisme que nous discutons fait appel à la notion de prolapsus de la graisse rétropéritonéale. La base du traitement suggéré s'appuie comme pour toute hernie par glissement, sur l'isolement de la masse herniée des éléments nobles du cordon et une réintégration simple dans sa position rétropéritonéale sans exérèse excessive.
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But de l’étude : Faire l’étude rétrospective de 5034 appendicectomies réalisées par une équipe de deux chirurgiens travaillant en milieu libéral. Tirer parti de l’homogénéité du matériel. Evaluer les apports modernes au diagnostic. Analyser la morbidité et les moyens de l’abaisser. Patients et méthodes : Nous présentons une série de 5034 appendicectomies réalisées de façon traditionnelle en dehors d’une courte série de 93 appendicectomies coelioscopiques. L’analyse porte sur 2 périodes et est comparative. La deuxième période a vu l’apparition des moyens diagnostiques, échographiques et tomodensitométriques. La coelioscopie a également été utilisée. Résultats : En matière diagnostique le nombre d’appendices sains enlevés a été moindre dans la deuxième période mais les formes graves y ont été plus nombreuses. Les qualités de l’imagerie n’ont pas supplanté le rôle primordial de l’examen clinique. La morbidité a été plus basse dans la deuxième période. Notre série comporte un décès chez une femme de 92 ans. Conclusion : L’apport de l’imagerie moderne en matière de diagnostic d’appendicite est intéressant, mais la clinique reste primordiale. C’est dans la rigueur de la technique chirurgicale qu’il faut rechercher une diminution de la morbidité. Malgré l’introduction précoce de la coelioscopie dans notre pratique celle-ci ne s’est pas imposée chez nous comme la technique de base.
Five thousand and thirty four appendectomies. Results
Study aim: The aim of this retrospective study is to report a series of 5034 appendectomies performed by two surgeons working in the private sector. Emphasis is put on the homogeneity of this study. The role of ultrasonography and computed tomography was evaluated. Morbidity was carefully examined and the means to lower it as well. Material and methods: 5034 appendectomies were performed with the open technique apart from a short series of 93 performed through laparoscopy. Two periods were studied and compared. In our second period ultrasonography, computed tomography, and laparoscopy were introduced. Results: In the second period fewer appendixes qualified of normal were operated on and more complicated forms were observed. Help in diagnosis of ultrasonography and computed tomography was valuable but clinical examination remained essential. Morbidity was lowered. There was one death in our series (ninetytwo year old woman) Conclusion: Clinical examination remains essential in the diagnosis of appendicitis. Ultrasonography and computed tomography are however of valuable interest. A careful surgical technique is essential to lower morbidity. Laparoscopy although introduced early in our practice, did not impose itself as our basic technique.
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