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Séance du mercredi 14 octobre 2009
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15h00-17h00 - Les Cordeliers
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Résumé La disponibilité du télémanipulateur robotisé a permis de faciliter le geste cœlioscopique de plastie de la jonction pyélo-urétérale. Nous avons comparé de façon rétrospective deux séries de patients traités entre mai 2001 et novembre 2008 pour maladie de la jonction primaire, soit par chirurgie cœlioscopique conventionnelle, soit avec chirurgie robotique. Tous les patients présentaient une maladie de la jonction symptomatique (douleurs, infection et/ou lithiase), et/ou un obstacle attesté par la scintigraphie au Mag3 et test au Lasilix. Patients et méthodes : Groupe A : (15 patients) Cœlioscopie classique. Groupe B : 45 patients, chirurgie robotisée. Nous avons étudié les suites postopératoires et la durée du séjour ainsi que le résultat sur les symptômes et la vidange du bassinet par scintigraphie. Résultats : Dans le groupe A, la médiane de durée de séjour a été de 7,3 jours, une amélioration dans les symptômes et l’imagerie a été a été constatée dans 13 cas sur 15 et un échec a été observé. Dans le groupe B, la médiane de durée de séjour a été de 3,7 jours, une amélioration des symptômes et l’imagerie a été observé dans 40 patients sur 45, un échec a été observé. Discussion :Les résultats sont comparés avec ceux obtenus avec les autres méthodes endoscopiques. Conclusion : L’utilisation du télémanipulateur robotisé permet une bien meilleure ergonomie de l’intervention, avec un apprentissage minimal. En revanche, à ce jour, les résultats fonctionnels ne sont pas différents et reproduisent ceux obtenus avec la chirurgie ouverte. L’avantage de la chirurgie robotisée réside probablement dans la diminution du temps de séjour.
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Résumé La chirurgie des masses résiduelles après chimiothérapie des tumeurs germinales du testicule répond actuellement à des critères bien définis et constitue une étape indispensable de la prise en charge des patients. Une chirurgie de rattrapage peut s’avérer nécessaire dans différentes circonstances, qu’il s’agisse d’une chirurgie initialement incomplète, d’une progression en cours de chimiothérapie ou d’une rechute tardive.. Si cette chirurgie conserve dans certaines circonstances un rôle thérapeutique, sa morbidité s’avère plus élevée. 0 partir de 6 cas d’une série de 65 curages réalisés de janvier 2006 à janvier 2009, les auteurs exposent les difficultés et les limites de cette chirurgie.
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Résumé La vaporisation par le laser KTP pour le traitement de l'HBP est une technique nouvelle. Nous l'évaluons sur une série prospective consécutive, avec les mêmes indications que celles de la RTU de la prostate. PATIENTS ET MÉTHODES : Quatre vingt un patients consécutifs, d'âge moyen 70,3 ans (51-97) ont été traités par le laser KTP, 73 pour troubles mictionnels et 8 pour rétention complète. Le volume prostatique moyen était de 54g (20-130) et le PSA de 5,2 ng/ml (0,4-21). 32 patients (40%) avaient conservé leur traitement anti-coagulant ou anti plaquettaire Des biopsies étaient faites quand leur résultat pouvait modifier le traitement. Seuls 20% des patients avaient un IIEF > 18 RESULTATS : l'énergie moyenne délivrée était de 162 kJ (45-280) soit un temps de tir de 34 minutes (10-59). Aucune hémorragie, aucun lavage post-opératoire ni transfusion. La sonde est retirée à J1. Seuls 4/81 patients seront resondés durant 1 à 4 jours, et 84% des patients sortent à J1 Au plan fonctionnel on observe l'évolution suivante des paramètres objectifs et subjectifs.
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Résumé La plupart des patients éprouvent des signes irritatifs durant le 1er mois justifiant la prescription d'AINS. Nous avons observé aucune sténose uréthrale cervicale ou méatique, une conversion en RTU pour problème de caméra, et 2 réinterventions pour vaporisation insuffisante. A terme, 16% des patients signalent une éjaculation antérograde, mais seuls 20% avaient un score IIEF > 18 avant traitement CONCLUSION : La vaporisation par le Laser KTP est simple, rapide et dénuée de complications notamment hémorragiques, même chez des patients anticoagulés, de plus en plus fréquents. Elle offre des résultats comparables, du moins à moyen terme, à ceux de la RTUP. Le but de l’étude a été de d’évaluer la fonction rénale en étudiant la créatininémie avant et après le traitement endovasculaire d’un anévrysme de l’aorte abdominale en fonction du mode de fixation infra ou supra-rénale. Entre le 1er juin 2001 et le 1er décembre 2006, 94 EVAR ont été réalisés consécutivement Les critères d’inclusion étaient conformes aux critères définis par l’AFSSAPS. La fonction rénale a été évaluée par la créatininémie (Cr) préopératoire et la Cr postopératoire immédiate ( J+1) et la Cr à la sortie (en moyenne J+7). Il y a eu 40 endoprothèses aorto-mono-iliaque avec occlusion iliaque controlatérale et pontage croisé et 54 endoprothèses bifurquées. Quarante cinq malades ayant une endoprothèse avec fixation suprarénale (FSR) ont été comparé aux 49 malades ayant eu une endoprothèse avec fixation sous (ou infra) rénale (FIR). La moyenne d’âge était de 75,89 ans (53-92 ans) soit 76,8 ans pour les FSR, 75 ans pour les FIR. Le diamètre moyen des anévrysmes était de 58,7 (extrêmes 45 mm – 87mm) soit 60,5 mm pour les FSR, 56,9 mm pour les FIR. La mortalité périopératoire a été de 3,1% (2 ischémies coliques, 1 ischémie de l’intestin grêle) soit 2 décès dans le groupe FSR et un décès dans le groupe FIR. Les 3 décès sont survenus avec une défaillance multiviscérale et un recours à l’hémodialyse. Le suivi moyen a été de 26 mois. Aucune différence significative n’a été noté entre la Cr moyenne préopératoire des malades du groupe FSR (105,8 65 micromoles/L) par rapport à ceux du groupe FIR (104,5 39,7 micromoles/L) p=0.91. L’étude des variations entre la Cr préopératoire et la Cr à J+1 et à J+7 n’a pas montré de différence significative (respectivement p=0.80 et p=0.26) entre les groupes FSR et FIR (Tableau I). L’analyse des CT postopératoires a mis en évidence 20 endofuites (4 de type I, 15 de type II, 1 de type III.) soit 10 endofuites chez les malades ayant une FSR (2 de type I, 8 de type II) et 10 endofuites chez les malades ayant une FIR. Trois artères rénales accessoires (27,2%) ont été couvertes (2 artères dans le groupe FSR, l’autre dans le groupe FIR). Notre étude rapporte 15% d’aggravation de la fonction rénale après EVAR. La fixation suprarénale (FSR) des EVAR est une méthode sûre qui n’entraîne pas plus d’aggravation de la fonction rénale postopératoire que la fixation infrarénale (FIR).
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Déclaration de vacance de places de membres associés
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