Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-4
Note [18]
« parce que ces remèdes fictifs, avec leurs qualités occultes qui sont réellement nulles, n’auraient de plus grande vertu que vider les cassettes des malades pour enrichir les apothicaires. »
Le début de cet article vient de la lettre 5 (18 octobre 1630, v. sa note [10]), qui déclencha une chaude querelle entre Guy Patin et Claude ii Belin sur les qualités occultes des médicaments (v. note [7], lettre 3), dont Jean Fernel avait défendu l’existence dans ses deux livres de abditis rerum causis [sur les causes cachées des choses] (Paris, 1548, v. note [48], lettre 97). La suite, contre les apothicaires, n’est pas dans la lettre, mais parfaitement conforme à l’esprit de Patin.