Note [49] | |
Cet article reprend et étend un commentaire qui est à la fin de la lettre à Charles Spon du 18 juin 1649 (v. sa note [71]). Guy Patin manquait singulièrement d’humilité en omettant de convenir qu’il n’avait lui-même plein accès aux textes des auteurs grecs que grâce à leurs traductions latines (v. infra note [56] pour un retour sur celles des poésies). V. note [6], lettre 6, pour une liste des quelques ouvrages d’Hippocrate et de Galien traduits en français au xvie s., ce qui les rendait intelligibles à ceux qui ignoraient le latin, comme les chirurgiens et les apothicaires. Au grand dam des catholiques, la Réforme luthérienne avait engagé le même effort de vulgarisation pour les textes sacrés. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : L’Esprit de Guy Patin (1709), Faux Patiniana II-1, note 49. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8214&cln=49 (Consulté le 08/05/2024) |