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Le nombre croissant de patientes concernées par le prolapsus génital symptomatique nécessite une réflexion sur la détermination d’une procédure efficace, reproductible et sûre. Actuellement il est estimé que la prévalence maximum de cette pathologie est de 30% des femmes de 60 ans et que ce motif de consultation sera multiplié par dix en quelques années. D’un point de vue purement technique la promontofixation coelioscopique reste de réalisation plus complexe que la cure de prolapsus par voie vaginale avec une courbe d’apprentissage plus longue. Cette procédure coelioscopique est récente dans l’histoire de la chirurgie. De nombreux praticiens ont dû effectuer un conversion technique et philosophique envers la cœlioscopie, cette difficulté a engendré un retard d’application surtout chez les gynécologues. La généralisation de cette procédure dans les centres d’enseignement doit permettre de considérer la promontofixation coelioscopique comme pratique courante. La promontofixation souvent réservée aux femmes jeunes voit son indication élargie avec la standardisation et la reproductibilité de cette procédure, concernant également tous les étages du prolapsus génital. Afin d’optimiser la fixation prothétique nous avons développé une technique d’encollage prothétique vaginal (EPV). En limitant le nombre de nœuds et en facilitant la procédure de fixation, il est concevable de penser que l’application de la colle devrait réduire le temps opératoire, le nombre de complications vaginales (exposition, érosion) et améliorer la courbe d’apprentissage.